Subtile comme nuance, mais intéressant de s’y attarder. Il y a des endroits où l’on arrive à s’ancrer facilement, on prend racine aisément. On se sent chez soi dès les premiers instants.
Par contre, il y en a d’autres où l’on doit se faire des repères pour en arriver à trouver un certain bien-être.
Ceux qui voyagent beaucoup expérimentent souvent la subtilité entre les deux. Dès qu’une sortie de zone de confort se manifeste, nous sommes confrontés à nos propres limites. Notre capacité à s’ajuster et s’adapter au nouveau, déclenche en nous une recherche de repères pour mieux se sentir intérieurement. La nouveauté sera-t-elle de passage ou définitive? Le temps aussi influence notre réaction. Certains diront qu’il est aussi question de confiance en soi, certes, la confiance en nos capacités jouera un rôle.
La plus belle image pour illustrer mon propos est un bateau! Il vogue sur la mer en cherchant des repères avec la boussole, la position du soleil dans le ciel… pour évidemment trouver son chemin. Lorsqu’il arrive à un endroit, il jette l’ancre ! Il s’amarre! Un peu de stabilité pour mettre un pied à terre. Pour combien de temps, alors là, c’est un autre sujet!
Lorsque l’on est bien dans sa peau, cela facilite l’adaptation et l’ancrage. Quant aux repères, ils se retrouvent dans nos ressources intérieures telles que nos qualités, nos forces et nos aptitudes. Ainsi, peu importe l’endroit, l’événement ou l’obstacle, ces ressources surgissent dans notre plein potentiel de vie. De nouveaux repères s’installent d’eux-mêmes comme des balises.
Je vous souhaite, en 2017, la plus belle des explorations!
Auteure: Sylvie Asselin, Praticienne en Technique neuro cutané et artiste-peintre
Pour consulter la fiche professionnelle de Sylvie sur Le RIME, cliquez ici.
– Si vous avez aimé cet article et que vous souhaitez le partager pour « bonheuriser » la journée de vos contacts, veuillez cliquer sur vos réseaux sociaux préférés ci-dessous.
