La maladie de Parkinson

Marie-Hélène Dubé

espoir parkinsonSelon Statistique Canada, la maladie de Parkinson est le trouble neurodégénératif venant au deuxième rang en termes de fréquence, après la maladie d’Alzheimer.[1]  Environ 55 000 Canadiens de 18 ans et plus vivant dans les ménages privés ont déclaré avoir reçu un diagnostic de maladie de Parkinson et 12 500 résidents des établissements de soins de longue durée.  La prévalence de cette maladie sera en croissance au cours des prochaines années.

Pourquoi est-ce que j’ai choisi de vous parler du Parkinson ?  Parce que je côtoie de plus en plus de gens aux prises avec cette maladie invalidante.  Parce que je vois les ravages qu’elle cause autant chez la personne atteinte que dans son entourage, et aussi parce que j’ai un message d’espoir à vous transmettre.

Au plan purement biologique, la maladie de Parkinson demeure de cause inconnue (forme primaire, car il existe une forme secondaire pour laquelle des causes sont identifiées) bien que plusieurs hypothèses sérieuses soient à l’étude (facteurs environnementaux et génétiques).  C’est une maladie qui affecte le système nerveux central et qui évolue lentement.  Il peut se passer plusieurs années entre le début de la maladie et l’apparition des symptômes.  Au fil du temps, le niveau de dopamine décroit et la littérature nous mentionne qu’au moment du diagnostic environ 80% des cellules produisant la dopamine sont déjà détruites.

Les symptômes [2] les plus courants sont :

  •  les tremblements
  • la lenteur et la rigidité
  • des problèmes d’équilibre
  •  une rigidité musculaire

D’autres symptômes sont également observés :

  • fatigue
  • élocution lente
  • difficulté à écrire
  • posture voûtée
  • constipation
  • troubles du sommeil

Évidemment, cette liste est loin d’être exhaustive.  Toutefois, bien que le Parkinson ne se guérisse pas, il est possible d’avoir recours à plusieurs approches pour améliorer la qualité de vie de la personne atteinte.  Il existe de nombreuses possibilités médicales, holistiques, alimentaires, etc, afin de mieux composer avec les conséquences de la maladie.

Il y a environ 2 ans, j’ai eu la chance de rencontre Mme Diane Patenaude qui fut présidente pendant plusieurs années de la Société Parkinson du Québec.  Celle-ci a reçu un diagnostic de Parkinson à l’âge de 36 ans seulement, il y a de cela maintenant 20 ans.  Ces années lui ont permis de découvrir et d’expérimenter différentes avenues.  Cette dame, vive et attachante, amoureuse de la vie malgré tout, est d’ailleurs l’auteur de 3 excellents livres dans lesquels elle nous partage son histoire, sa philosophie et les approches qu’elle a tentées.  Vous les trouverez facilement dans toute bonne librairie.

J’ai eu l’occasion de lui parler à quelques reprises après qu’elle eut intégré Immunocal à son régime de vie.  Il était plus qu’évident que son état s’était grandement amélioré, elle arrivait même à marcher sans canne !   Au fil de ses recherches, elle avait découvert que le niveau de glutathion chez les personnes atteintes de Parkinson chutait de 40% [3] .  Un groupe de chercheurs de l’Université de Californie du sud, dirigé par J. D. Adams Jr, a d’ailleurs démontré que dans les stades avancés de la maladie, le taux de glutathion chuterait jusqu’à 2%.

Le rôle du glutathion est clairement reconnu par la communauté médicale depuis des décennies.  Non seulement, il permet d’augmenter la fonction immunitaire, mais en tant que maître antioxydant, il participe à l’élimination des toxines, des radicaux libres et du stress oxydatif.   La diminution des niveaux de glutathion est un élément frappant chez les patients atteints de la maladie de Parkinson.  Il est démontré que des niveaux de glutathion élevés ralentissent les dommages aux tissus cérébraux et peuvent même faire régresser certains symptômes. [4]

Immunocal est un précurseur de glutathion, dont les capacités à augmenter et maintenir un système immunitaire fort ont été cliniquement et scientifiquement prouvées et brevetées.  Il s’agit d’un complément plus qu’intéressant aux traitements médicaux en cours.  Je vous invite à regarder le témoignage de Mme Patenaude lors de son passage à l’émission de Denis Lévesque, et comme le dit bien le titre de son 3è livre, il s’agit d’un Bouquet d’espoir : https://youtu.be/lgTA4dz2CpM

Également un autre témoignage plus détaillé de Mme Patenaude : https://youtu.be/ON–Y8AiacY

Je demeure disponible pour vous accompagner et vous informer davantage relativement à ce qu’Immunocal peut faire pour vous ou un de vos proches.  Il est possible d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.  Renseignez-vous !

Au plaisir de vous aider !

[1] http://www.statcan.gc.ca/pub/82-003-x/2014011/article/14112-fra.htm
[2] http://www.parkinson.ca/site/c.jpIMKWOBJoG/b.5187667/k.4DB6/Qu8217estce_la_maladie_de_Parkinson.htm
[3] Source: Dr Jimmy Gutman, Glutathion votre clé vers la santé
[4] Source: Dr Jimmy Gutman, Le guide ultime du GSH

*Mme Diane Patenaude n’a AUCUNE affiliation avec la compagnie et ne tire aucun revenu pour ses témoignages, ils sont simplement le fruit de son expérience personnelle qu’elle désire partager aux gens.


Auteure: Marie-Hélène Dubé, consultante indépendante Immunotec
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